#Le Campc place l’année 2022 sous le signe de la maturité
Ce jeudi 24 février, le Centre africain de management et de
perfectionnement des cadres (Campc) a effectué sa rentrée solennelle de l’année
académique 2022, au sein de l’Université Félix
Houphouët-Boigny d’Abidjan-Cocody.
Le directeur général du Campc, le Pr Joseph
Kaudjhis, a indiqué que cette rentrée académique 2022 est placée sous le signe
de la maturité. « Maturité parce que cela fait 47 ans que nous sommes sur le
terrain au service des cadres africains. Et nous avons acquis une solide
expérience en matière de management et de perfectionnement des cadres en
Afrique », a expliqué le Pr Kaudjhis. En effet, pour cette rentrée académique
2022, le Campc se propose de renforcer la proximité dans la formation et
l’encadrement des auditeurs.
A l’en croire, en 47 ans, le Campc a formé plus
de 33 mille travailleurs, et a pour mission essentielle, le renforcement des
capacités des cadres africains. « Cette mission, il l’a remplie sans
discontinuer jusqu’à ce jour, contribuant ainsi à doter les entreprises et les
organisations nationales et internationales, publiques ou privées, de plus de
20 pays d’Afrique de ressources humaines de qualité, bien au fait des théories
mais surtout des méthodes et outils du management moderne », a poursuivi le Pr
Joseph Kaudjhis, soulignant le soutien permanent et multiforme que la Côte
d’Ivoire ne cesse d’apporter au Campc pour son fonctionnement et son équipement.
Le directeur de cabinet adjoint, Kouakou N’Goran
Jean-Arnaud, représentant le ministre de l’Enseignement Technique, de la
Formation Professionnelle et de l’Apprentissage, Koffi N’Guessan, par ailleurs,
vice-président du conseil d’administration du Campc, a félicité le directeur
général du Campc, le Pr Joseph Kaudjhis et son équipe, pour le travail abattu en
vue de restaurer le blason de cette institution.
Il souhaite que le passage des auditeurs au
Campc leur ouvre des perspectives meilleures sur le plan professionnel et
social, et contribue significativement à l’amélioration des performances de
leurs administrations respectives. « La transformation de nos économies passe
nécessairement par la valorisation du capital humain en effectif suffisant et à
même de s’adapter aux défis liés à la globalisation de l’économie », a expliqué
Kouakou N’Goran Jean-Arnaud.
Selon lui, son ministère est engagé dans cette
dynamique de réforme pour contribuer à relever le défi de la transformation
structurelle de l’économie ivoirienne en vue de l’émergence du pays. Dans le
cadre du Programme « Ecole de la deuxième chance », dit-il, le ministère va
initier une série de formations par apprentissage dans plusieurs localités pour
renforcer les compétences des populations. « Au regard de son expérience, le
Campc aura un rôle majeur à jouer dans ce programme, en termes de requalification
et de reconversion des agents de l’administration publique ou du secteur privé
», a-t-il conclu.
En marge de cette cérémonie, le Campc a organisé
une conférence autour du thème : « Capital humain comme priorité stratégique
face au défi du développement durable en Afrique ». Cette conférence inaugurale
dont l’objectif général est de sensibiliser sur le développement durable en
Afrique en vue de développer un environnement résilient et prospère, levier du
développement durable, a été animée par le Dr Yeo Nahoua, directeur de cabinet
au ministère du Plan et du Développement, par ailleurs enseignant à
l’Université Félix Houphouët-Boigny.
Pour le conférencier, le terme du capital humain
regroupe plusieurs notions qui sont au cœur des stratégies de développement et
qui expliquent les agendas internationaux tels que l’Agenda 2030 des Nations
unies, l’Agenda 2063 de l’Union africaine. Ces agendas reflètent le
développement du capital humain. Selon lui, il y a des progrès significatifs
qui ont été relevés mais malheureusement la pandémie à coronavirus (Covid-19)
tend à remettre en cause les acquis. Il est important, selon le Dr Yeo Nhoua,
au niveau de l’ensemble des acteurs, de non seulement discuter, se parler mais
surtout de booster toutes les initiatives mises en place afin de faire en sorte
que les fragilités baissent.
Rappelons que le Campc compte six membres à
savoir le Bénin, le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire, le Gabon, le Niger et le
Togo. Le Niger assure actuellement la présidence du Conseil d’administration et
la Côte d’ivoire, la vice-présidence.
A l’en croire, en 47 ans, le Campc a formé plus de 33 mille travailleurs, et a pour mission essentielle, le renforcement des capacités des cadres africains. « Cette mission, il l’a remplie sans discontinuer jusqu’à ce jour, contribuant ainsi à doter les entreprises et les organisations nationales et internationales, publiques ou privées, de plus de 20 pays d’Afrique de ressources humaines de qualité, bien au fait des théories mais surtout des méthodes et outils du management moderne », a poursuivi le Pr Joseph Kaudjhis, soulignant le soutien permanent et multiforme que la Côte d’Ivoire ne cesse d’apporter au Campc pour son fonctionnement et son équipement.
Le directeur de cabinet adjoint, Kouakou N’Goran Jean-Arnaud, représentant le ministre de l’Enseignement Technique, de la Formation Professionnelle et de l’Apprentissage, Koffi N’Guessan, par ailleurs, vice-président du conseil d’administration du Campc, a félicité le directeur général du Campc, le Pr Joseph Kaudjhis et son équipe, pour le travail abattu en vue de restaurer le blason de cette institution.
Il souhaite que le passage des auditeurs au Campc leur ouvre des perspectives meilleures sur le plan professionnel et social, et contribue significativement à l’amélioration des performances de leurs administrations respectives. « La transformation de nos économies passe nécessairement par la valorisation du capital humain en effectif suffisant et à même de s’adapter aux défis liés à la globalisation de l’économie », a expliqué Kouakou N’Goran Jean-Arnaud.
Selon lui, son ministère est engagé dans cette dynamique de réforme pour contribuer à relever le défi de la transformation structurelle de l’économie ivoirienne en vue de l’émergence du pays. Dans le cadre du Programme « Ecole de la deuxième chance », dit-il, le ministère va initier une série de formations par apprentissage dans plusieurs localités pour renforcer les compétences des populations. « Au regard de son expérience, le Campc aura un rôle majeur à jouer dans ce programme, en termes de requalification et de reconversion des agents de l’administration publique ou du secteur privé », a-t-il conclu.
En marge de cette cérémonie, le Campc a organisé une conférence autour du thème : « Capital humain comme priorité stratégique face au défi du développement durable en Afrique ». Cette conférence inaugurale dont l’objectif général est de sensibiliser sur le développement durable en Afrique en vue de développer un environnement résilient et prospère, levier du développement durable, a été animée par le Dr Yeo Nahoua, directeur de cabinet au ministère du Plan et du Développement, par ailleurs enseignant à l’Université Félix Houphouët-Boigny.
Pour le conférencier, le terme du capital humain regroupe plusieurs notions qui sont au cœur des stratégies de développement et qui expliquent les agendas internationaux tels que l’Agenda 2030 des Nations unies, l’Agenda 2063 de l’Union africaine. Ces agendas reflètent le développement du capital humain. Selon lui, il y a des progrès significatifs qui ont été relevés mais malheureusement la pandémie à coronavirus (Covid-19) tend à remettre en cause les acquis. Il est important, selon le Dr Yeo Nhoua, au niveau de l’ensemble des acteurs, de non seulement discuter, se parler mais surtout de booster toutes les initiatives mises en place afin de faire en sorte que les fragilités baissent.
Rappelons que le Campc compte six membres à savoir le Bénin, le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire, le Gabon, le Niger et le Togo. Le Niger assure actuellement la présidence du Conseil d’administration et la Côte d’ivoire, la vice-présidence.